FIV DO en Espagne: Avis 1
Nous avons récemment reçu un témoignage d’une patiente, ayant eu recours à un don d’ovocytes en Espagne. Voici son texte et merci pour ce beau témoignage.
« Après 5 ans d’essais infructueux, notre petit ange est venu au monde. Il nous remplit de bonheur jour après jour et je pensais ne jamais connaître cela. Pour lui, nous nous sommes battus, nous avons beaucoup pleuré, désespérément, et les jours sans lui était gris. Mais voilà, il est là, le soleil est revenu dans nos cœurs.
Voici mon parcours PMA :
À 37 ans, mon mari et moi avons décidé de fonder une famille. Nous nous étions rencontrés à 34 ans et avons bien profiter de notre jeunesse avant cela : voyages, fêtes, escapade les week-ends, nous avions toujours quelque chose de mieux à faire que de penser à avoir un enfant. Nous sommes sûrement un peu immatures sur les bords !
Et puis, un jour nous avons sauté le pas : et pourquoi ne pas faire un enfant ? J’avais 37 ans et lui 40 ans. Alors hop, essai bébé. À l’époque je n’avais aucune idée de ce qu’était l’ovulation, la période fertile et je me disais que ce serait très facile. Mais, grosse erreur : bébé n’arrivait pas.
Alors, j’en ai parlé à mon gynéco après 3 mois d’essai. Il m’a donné quelques vitamines et m’a demandé de faire des prises de sang aux premiers jours des règles. Et là, horreur, mon hormone FSH était très élevée (je ne rappelle plus maintenant du taux exacte…) Il m’a alors conseillé de consulter un spécialiste en fertilité.
Lorsque vous entrer en PMA, vous ne savez jamais quand vous en sortirez.
C’est ce qui s’est passé avec moi. J’ai passé la porte du centre de PMA et n’en suis sorti que 4 ans plus tard, avec le même ventre plat et les bras vide…. Pas de bébé à bercer.
FIV, FIV ICSI, hystéroscopie, ablation des trompes, je suis passé par tout !! C’est un enfer, mais nous tenons le coup pour avoir notre enfant à la fin.
J’ai fait 4 FIV en France avec une fausse couche, une FIV reconvertie en insémination faute de follicules, puis le néant. Rien de rien, dépression, psychologue, reFIV et finalement l’éponge est jetée.
Après une longue période de reconstruction, mon mari m’a reparlé de la solution évoquée par notre professeur en PMA : le don d’ovocytes. J’y ai pensé, repensé, re-re-repensé, puis j’ai accepté. Après tout, c’était bien notre seule chance d’être encore parents.
Le don d’ovocytes en France est une vrai torture et perte de temps ! Trois à Quatre ans d’attente m’ont-ils dit ! Ou alors… la solution de l’étranger.
Nous voici donc partis pour un don d’ovocytes en Espagne, après le casse-tête du choix du pays, de la clinique, réunir l’argent pour pouvoir payer le traitement….
Mais soudainement, tout est allé très vite et nous nous sommes laissées faire par l’équipe médicale. Traitement facile, voyage facile, tout trop simple pour Être vrai ?
Et pourtant, après 3 mois, le test était là : un beau positif et une belle grossesse qui commençait !
Ne perdez jamais jamais espoir, car il y a des gens formidables pour vous écouter, des gens pour vous aider et des solutions à tout !
Bravo pour ce beau combat! J ai moi aussi eu mes deux jumeaux grâce à l Espagne et je remercie la clinique tous les jours. Bravo à toi et ta famille, tu redonnes de l espoir à plein de femmes en desaroi!
Bonjour et félicitations pour quelle clinique en Espagne avez vous optez pour avoir ces merveilleux cadeaux car nous en cherchons une mais il y en a tellement merci pour votre réponse et plein de bonheur à vous
Bonsoir,
un nouveau article intéressant.
cela n’est pas systématiquement aussi facile que pour le couple présenté, mais cela vaut le coup de tenter 🙂
Ca donne envie! J’ai eu 4 échecs de FIV et la france me laisse tomber car j’ai 42 ans… je me renseigne sur les cliniques en espagne, pour l’instant j’en retiens deux: Ginemed et Procreatec, j’ai eu un bon contact avec les deux. Reste à voir les prix…